Research in Progress
SUCROSE Recruiting
REWIND Recruiting
EXSCEL Recruiting
OP2MIZE Recruiting
SAVOIR
ACCORDION
ORIGINALE
TECOS
A person with diabetes that has a hypoglycemic reaction (low blood sugar) must ingest carbohydrate to reverse it..
Glucose tablets, each containing 4 grams of glucose, are certainly the most practical way of carrying carbohydrates. It is required to take 4 tablets in presence of a reaction, retest 15 minutes later, and retreat if the blood glucose level remains below 4 mmol/L.
However, glucose tablets, sold in drug stores, are quite expensive. It would be cheaper to carry sugar cubes (3 grams per cube) in a specially designed container, but this approach has never actually been tested to make sure that sugar cubes are efficacious. All the studies ahve been done with sugar diluted in water...
In our trial, we treat people having a hypoglycemia at the time of their routine visit at the Royal Victoria Hospital Metabolic Day Centre with either 4 tablets of glucose or with 5 sugar cubes. We want to test that these two approaches are equivalent.
If they are, especially designed containers carrying 5 sugar cubes could be developed and provided to people with diabetes, providing a less expensive approach to treat hypoglycemic reactions.
The REWIND trial, sponsored by Eli Lilly, evaluates whether dulaglutide, administered by a once-weekly injection, can prevent the apperance of cardiovascular complications in paeople with type 2 diabetes.
This medication is known to improve diabetes control, while frequently causing weight loss.
9600 will participate in this close to 7 year study.
To obtain more information, you can contact the stydu coordinators for this trial:
Mylène Roy at the 514-934-1934 ext 36382 Or Angie Lombardo at the 514-934-1934 ext 36492
The EXSCEL trial sponsored by Takeda, assesses if the drug Exenatide LAR, administered by a weekly injection, can prevent the appearance of cardiovascular complications in people with type 2 diabeets.
This medication is known to improve glucose control, while causing weight loss. This medication is already on the market in the United States.
9500 people will participate in this study, which is expected to last 6 years.
To obtain more information, you can contact the study coordinators for this trial:
Mylène Roy at the 514-934-1934 ext 36382 Or Angie Lombardo at the 514-934-1934 ext 36492
The Opt2mize trial, sponsored by Medtronic, will assess the use of an insulin pump in people with type 2 diabetes.
The use of an insulin pump is widespread in type 1 diabetes, L’utilisation de la pompe à insuline devient généralisée dans le diabète type 1, mais a été moins étudiée dans le diabète type 2.
Pour participer, les personnes doivent déjà prendre de multiples injections d’insuline tous les jours et être atteintes d’un diabète type 2.
XXX people will participate in this trial.
To obtain more information, you can contact the stydu coordinators for this trial:
Mylène Roy at the 514-934-1934 ext 36382 Or Angie Lombardo at the 514-934-1934 ext 36492
L’étude TECOS, financée par Merck, évalue si la sitagliptine, un médicament utilisé dans le traitement du diabète, peut prévenir l’apparition de complications cardiovasculaires chez les personnes atteintes de type 2.
14000 personnes participent à cette étude dont le recrutement est terminé.
On prévoit la fin de l’étude vers 2014.
L'étude SAVOR-TIMI, financée par Bristol Myers Squibb et Astra Zeneca, évalue si la saxagliptine, un médicament utilisé dans le traitement du diabète, peut prévenir l'apparition de complications cardiovasculaires chez les personnes atteintes de type 2.
16500 personnes participent à cette étude de 5 ans dont le recrutement est terminé.
On prévoit la fin de l'étude vers 2014.
L'étude Accordion est une étude dans laquelle les personnes qui ont participé à l'étude ACCORD (voir autre page) sont suivies à long terme, mais sans interventions.
L'objectif de cette étude est de savoir si le fait d'avoir eu un contrôle intensif de la glycémie, de la tension artérielle ou si l'usage de fenofibrate ajouté à une statine pourraient avoir eu un effet bénéfique ou nocif qui n'aurait pas été détecté à la fin de l'étude.
Une seule visite par année est requise dans ce suivi à long terme, en plus d'un téléphone à mi-chemin durant l'année.
L'étude ORIGINALE est un suivi à long terme des personnes qui ont participé à l'étude Origin (voir autre page).
L'objectif de cette étude est de savoir si le fait d'avoir été traité avec de l'insuline Glargine très précocément (au début du diabète ou même avant le diagnostic de diabète) pourrait avoir eu des effets bénéfiques ou nocifs qui n'auraient pas été détectés à la fin de l'étude.
10,000 personnes ont participé à cette étude, dont 120 à l'hôpital Royal Victoria.
Y a-t-il un avantage à obtenir un contrôle très serré des glycémies ?
Dans le groupe qui a atteint une A1c de 6.4% (glycémies avant les repas en bas de 6...),
il y a eu moins de complications aux yeux, aux reins et aux nerfs. Il y a aussi eu 24% moins de crises cardiaques.
Par contre, la mortalité dans ce groupe a été supérieure.
Cette augmentation de la mortalité n'est pas expliquée pour le moment.
Les personnes qui ont réussi à atteindre une A1c en bas de 6.5% n'ont pas eu cette mortalité augmentée. Il
semble que ce sont les personnes qui étaient incapables de baisser l'A1c malgré qu'elles étaient dans le groupe
intensif qui ont eu plus de mortalité, et c'est aussi ces personnes qui ont eu le plus d'hypoglycémies
(baisses de sucre). Notre interprétation est que certaines personnes, surtout après plusieurs années de
diabète et qui sont rendues aux injections d'insuline, font beaucoup de baisses de sucre lorsqu'on essaie
de trop baisser leurs glycémies,. Et ces baisses de sucre trop fréquentes pourraient être dangereuses pour le coeur.
Y a-t-il un avantage à baisser la tension artérielle en bas de 120 par rapport à 130 ?
L'étude ACCORD a montré une légère baisse des accidents vasculaires cérébraux, mais plus d'effets
secondaires. L'objectif chez les personnes atteintes de diabète demeure donc à 130/80 ou moins.
Y a-t-il un avantage à donner du fenofibrate (Lipidil) en plus des statines (Zocor, Lipiror, Crestor) ?
L'étude ACCORD n'a pas démontré d'avantage pour le coeur d'ajouter du fénofibrate, mais a démontré une baisse de 40% de la progression de l'atteinte aux yeux (rétinopathie).
Est-ce que le fait de faire des hypoglycémies sévères peut entraîner de la démence ?
L'étude Accord a trouvé que NON. Par contre, lorsque les personnes développent de la démence, par exemple suite è la maladie d,Alzheimer, elles deviennent beaucoup plus susceptibles è faire des hypoglycémies sévères.
L'étude INSIGHT a comparé l'approche traditionnelle dans le diabète type 2 (Ajout d'un, deux puis trois sortes d'agents par voie orale avant d'ajouter les injections d'insuline) et l'approche comprenant l'insulinothérapie beaucoup plus tôt. L'étude a démontré un meilleur contrôle des glycémies avec l'insuline débutée tôt, mais un peu plus de baisses de sucre (hypoglycémies) et plus de prise de poids. Les patients ont décrit une meilleure qualité de vie avec l'insuline.
Cette étude suggère donc que l'insuline pourrait être une alternative tôt dans le traitement du diabète type 2. Par contre, il est probable que l'insuline va demeurer une approche utilisée surtout lorsque les pilules deviennent insuffisantes.
La principale contribution de cette étude aura cependant été de valider une approche très simplifiée pour l'initiation de l'insulinothérapie. Cette approche Le protocole INSIGHT) implique que les patients font les ajustements eux-mêmes à la maison, sans nécessité de calculs. La dose de départ est de 10 unités, et les patients augmentent de 1 unité tous les soirs jusqu'à ce que leur glycémie avant le petit déjeuner soit inférieure à 5.5.
L'étude START a étudié une façon simple d'intensifier l'insulinothérapie lorsqu'une seule injection d'insuline basale au coucher avec ou sans agents oraux était insuffisante pour bien contrôler les glycémies.
Dans cette étude, des personnes prenant de l'insuline basale une fois par jour et mal contrôlées ont d'abord vu leur dose d'insuline basale optimisée en augmentant la dose jusqu'à ce que la glycémie du matin soit inférieure à 6. Un autre groupe de personnes ne prenant pas encore d'insuline mais en ayant besoin à cause de glycémies mal contrôlées malgré des médicaments oraux ont débuté l'insuline basale, qui fut ajustée jusqu'à l'obtention d'une glycémie en bas de 6 le matin.
Les personnes ayant une glycémie inférieure à 6 le matin avec l'insuline basale, mais avec une A1c qui demeurait au-dessus de 7 (donc avec des glycémies trop hautes ailleurs dans la journée) ont ensuite débuté de l'insuline à action rapide avant le petit déjeuner. L'étude a divisé les participants en 2 groupes au hasard, soit un groupe où les patients ajustaient eux-même leurs doses en débutant à 2 unités et en augmentant de 1 unité par jour jusqu'à ce qu'une glycémie le midi soit en bas de 6, alors que l'autre groupe a eu de l'aide de professionnels de la santé pour faire les ajustements. L'étude a démontré que l'approche simplifiée par les patients eux-même était aussi efficace.
L'étude SOLVE a observé l'évolution de XX personnes en terme de contrôle glycémique et d'autres paramètres lorsque ces personnes atteintes de diabète type 2 doivent débuter de l'insuline basale (Detemir) afin de mieux contrôler leur diabète.
L'étude a eu lieu dans YY pays, et a donc permis d'étudier les différences dans le traitement du diabète d'un pays à l'autre.
L'étude a d'abord démontré l'efficacité et l'innocuité de débuter de l'insuline basale avec une baisse de l'A1c de 1% sans prise de poids (il y a même eu une légère perte de poids en moyenne) et avec très peu d'hypoglycémies. Il y a même eu moins d'hypoglycémies avec l'insuline qu'il n'y en avait avant avec les pilules.
L'étude a ensuite démontré que l'enseignemnet lors du dénut de l'insuline basale pouvait être complété en 40 minutes en moyenne.
L'étude a aussi révélé que les médecins attendent très longtemps avant de débuter l'insuline, car l'A1c moyenne lors de la prescription était à 9% dans presque tous les pays (9.0% au Canada)
L'étude DREAM a vérifié si l'utilisation de la rosiglitazone chez des personnes pré-diabétiques pouvait prévenir l'apparition du diabète.
La rosiglitazone a réduit l'apparition du diabète de 60% sur 3 ans, ce qui en fait l'approche préventive la plus puissante jamais décrite.
Malheureusement, cette étude a aussi soulevé des doutes sur l'innocuité de l'utilisation de ce médicament à long terme: hausse des fractures après 3 ans surtout chez la femme, et possible augmentation des infarctus du myocarde.
Ce médicament n'est donc pas utilisé pour la préventon du diabète.
L'étude DIA3004 a évalué l'utilisation d'un inhibiteur du SGLT2, la canagliflozine, chez des personnes diabétiques avec insuffisance rénale modérée.
L'étude a démontré que cet agent demeurait efficace en présence d'insuffisance rénale modérée, entraînant une baisse de l'A1c de 0.4% et une perte de poids de 1.5 Kg en 6 mois. Le médicament a été très bien toléré.
Les résultats ont été présentés à l'American Diabetes Association en juin 2012, à l'European Association for the Study of Diabetes en octobre 2012 et à l'Association Canadienne du Diabète en octobre 2012.
L'étude ORIGIN a évalué l'utilisation précoce de l'insuline basale (Glargine) soit au tout début du diabète, ou même avant l'apparition du diabète, comparé à l'approche traditionnelle qui consiste surtout à utiliser 3-4 sortes de comprimés oraux avant de passer à l'insuline.
12612 personnes ont participé pendant 6 ans en moyenne.
L'utilisation d'une dose d'insuline Glargine par jour a permis un contrôle spectaculaire des taux de glycémie, meilleurs qu'avec l'approche traditionnelle, avec comme effets secondaires une légère prise de poids et un peu plus d'hypoglycémies, habituellement légères.
L'insuline Glargine n'a eu aucun effet, ni positif ni négatif, sur la survenue de crises cardiaques et de cancers.